Rocard et Soros
Le milliardaire et spéculateur américain Georges Soros dispose de plusieurs réseaux d'Organisations Non
Gouvernementales (ONG), dont le principal est l'Open Society Institute (OSI).
Une des particularités de ces réseaux est qu'ils sont particulièrement actifs là où la dislocation des Etats-Nations est la plus avancée ( ex-Yougoslavie, ex-URSS). Une autre particularité est que leur action philanthropique s'étend aux hommes politiques. L'un d'eux est Michel Rocard que l'on voit apparaître dans plusieurs initiatives soutenues par l'OSI ou avec Soros en personne : Commission pour l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, International Crisis Group... Initiative pour la reconnaissance internationale du Tribunal pénal international (TPI). Soros et l'ineffable vieillard, ancien premier ministre de Mitterrand, partagent aussi la même conception d'une "gouvernance mondiale" qui passe par la disparition des Etats-Nations. Je ne croyais pas, lorsque je faisais une allusion amère à l'Ossétie, que j'allais retrouver Rocard ( le héros de mon dernier chapitre pour ceux qui n'auraient pas encore acheté mon bouquin !) . L'information à propos de Soros sur Internet est polluée par l'incroyable activité littéraire de la secte politique de LaRouche-Cheminade. On trouve néanmoins en pdf un rapport de 2004 de l'International Crisis Group intitulé : "Avoiding War in South Ossetia" ; ce rapport y pointe qu'une des causes de l'émigration des Ossètes du Sud vers le Nord est le manque d'écoles. Rocard est alors "senior advisor" de l'ICG et son nom apparaît en bas du rapport. En réalité, la contribution de Rocard à la "dénationalisation" de l'école est cohérente avec les projets de nouvelle gouvernance mondiale des ploutocrates, fondés sur la "société civile", qui en l'occurrence organise à la fois la destruction des services publics et leur remplacement par la charité privée. Quand bien même il y faudrait la guerre. Dans la région le "Central Eurasia Project" - qui ne se cache pas d'avoir la couleur du pétrole- est à ce prix.
Une des particularités de ces réseaux est qu'ils sont particulièrement actifs là où la dislocation des Etats-Nations est la plus avancée ( ex-Yougoslavie, ex-URSS). Une autre particularité est que leur action philanthropique s'étend aux hommes politiques. L'un d'eux est Michel Rocard que l'on voit apparaître dans plusieurs initiatives soutenues par l'OSI ou avec Soros en personne : Commission pour l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, International Crisis Group... Initiative pour la reconnaissance internationale du Tribunal pénal international (TPI). Soros et l'ineffable vieillard, ancien premier ministre de Mitterrand, partagent aussi la même conception d'une "gouvernance mondiale" qui passe par la disparition des Etats-Nations. Je ne croyais pas, lorsque je faisais une allusion amère à l'Ossétie, que j'allais retrouver Rocard ( le héros de mon dernier chapitre pour ceux qui n'auraient pas encore acheté mon bouquin !) . L'information à propos de Soros sur Internet est polluée par l'incroyable activité littéraire de la secte politique de LaRouche-Cheminade. On trouve néanmoins en pdf un rapport de 2004 de l'International Crisis Group intitulé : "Avoiding War in South Ossetia" ; ce rapport y pointe qu'une des causes de l'émigration des Ossètes du Sud vers le Nord est le manque d'écoles. Rocard est alors "senior advisor" de l'ICG et son nom apparaît en bas du rapport. En réalité, la contribution de Rocard à la "dénationalisation" de l'école est cohérente avec les projets de nouvelle gouvernance mondiale des ploutocrates, fondés sur la "société civile", qui en l'occurrence organise à la fois la destruction des services publics et leur remplacement par la charité privée. Quand bien même il y faudrait la guerre. Dans la région le "Central Eurasia Project" - qui ne se cache pas d'avoir la couleur du pétrole- est à ce prix.