Projet de loi de mise à mort de l'école communale.
La proposition de loi de trois députés UMP (MM.Apparu, Geoffroy et Reiss) devrait, d'après ses initiateurs être examinéepar l'Assemblée Nationale
"en février-mars" 2009. Elle modifierait la loi de 2004 pour créer des Etablissements Publics d'Enseignement Primaire avec une formule plus générale que celle
envisagée dans "Autre chose que des motherfuckers" (comment, vous ne l'avez pas encore acheté ?) Citation :
"Cette proposition répond à un triple objectif :
- Permettre, notamment en milieu urbain, d'assurer une plus grande mixité sociale en réaunissant sous une même EPEP des élèves des écoles sociologiquement différentes et favoriser notamment la mutualisation des moyens en faveur des élèves les plus en difficultés." (ah, la place de l'adverbe "notamment" !)
- Encourager le regroupement d'écoles de petites tailles (sic) pour former un seul établissement, éclaté (sic), et permettre ainsi une émulation pédagogique qui fait défaut notamment dans les toutes petites structures que l'on trouve en milieu rural."(je vous assure, mon produit a été testé biologiquement, il ne laisse pas de traces)
- Mutualiser les moyens humains, pédagogiques et financiers au bénéfice des élèves(sic) et créer un véritable statut d'emploi pour les directeurs d'Epep"
Les EPEP seraient dotés d'un conseil d'administration avec élus locaux, représentants du personnel et parents d'élève, ce conseil d'administration élit un président qui peut-être le directeur (désormais doté des pouvoirs d'un chef d'établissement), un représentant des communes ou des établissements publics de coopération intercommunale...
Ce qui est rigolo, c'est que, par chez nous et ans ce cas là, le "président" pourrait,assez souvent, être 'ancien directeur de l'école privée ou un membre de l'OGEC (organisme de gestion des écoles catholiques).
Bref, il s'agit d'une proposition assassine, formulée avec l'honnêteté de vendeurs ambulants de produits biologiques ukrainiens. Qui a dit : "retrait ! " ?
"Cette proposition répond à un triple objectif :
- Permettre, notamment en milieu urbain, d'assurer une plus grande mixité sociale en réaunissant sous une même EPEP des élèves des écoles sociologiquement différentes et favoriser notamment la mutualisation des moyens en faveur des élèves les plus en difficultés." (ah, la place de l'adverbe "notamment" !)
- Encourager le regroupement d'écoles de petites tailles (sic) pour former un seul établissement, éclaté (sic), et permettre ainsi une émulation pédagogique qui fait défaut notamment dans les toutes petites structures que l'on trouve en milieu rural."(je vous assure, mon produit a été testé biologiquement, il ne laisse pas de traces)
- Mutualiser les moyens humains, pédagogiques et financiers au bénéfice des élèves(sic) et créer un véritable statut d'emploi pour les directeurs d'Epep"
Les EPEP seraient dotés d'un conseil d'administration avec élus locaux, représentants du personnel et parents d'élève, ce conseil d'administration élit un président qui peut-être le directeur (désormais doté des pouvoirs d'un chef d'établissement), un représentant des communes ou des établissements publics de coopération intercommunale...
Ce qui est rigolo, c'est que, par chez nous et ans ce cas là, le "président" pourrait,assez souvent, être 'ancien directeur de l'école privée ou un membre de l'OGEC (organisme de gestion des écoles catholiques).
Bref, il s'agit d'une proposition assassine, formulée avec l'honnêteté de vendeurs ambulants de produits biologiques ukrainiens. Qui a dit : "retrait ! " ?