"Los compañeros de la mayoria"
L'hebdomadaire "Informations Ouvrières" N° 2452 publie
un appel du "Front national contre le coup d'Etat au Honduras" à la classe ouvrière mondiale qui commence ainsi :
"Derrière le coup d'Etat on retrouve les dirigeants patronaux, les quatre partis politiques de la bourgeoisie (parti libéral, parti national, Parti démocrate-chrétien et parti Innovation et Unité social-démocrate), les dirigeants des Eglises catholique et évangélique, tout comme les patrons des principaux moyens de communication.
Tous ont passé une alliance contre-révolutionnaire par crainte que la consultation populaire du 28 juin ne donne du pouvoir au peuple, en particulier à la classe ouvrière et aux paysans pauvres, pour initier la construction d'une nouvelle société où les privilèges de la classe bourgeoise et des propriétaires terriens seraient abolis;
Il faut dire que derrière ce coup d'Etat, il y a la main de l'impérialisme américain et de l'extrême-droite latino-américaine, qui y voient l'occasion de freiner la progression de la gauche dans la région e l'Amérique centrale et l'influence de la révolution vénézuélienne, aprèd les récentes victoires électorales du Front farabundo Marti de libération nationale (FMLN) au Salvador et du Front Sandiniste au Nicaragua..."
Une autre page, qui n'était initialement pas liée à l'évolution de la conjoncture au Honduras, revient sur la révolution sandiniste au Nicaragua, lorsque, le 19 juillet 1979, les troupes du Front Sandiniste de Libération Nationale (FSLN) sont entrées dans Managua,la capitale et ont chassé le sanguinaire dictateur Anastasio Somoza. Cette page est principalement consacrée à l'interview d'un combattant de la "Brigade Simon-Bolivar" du FSLN (trente ans déjà !).
Combat inconditionnel pour l'unité contre l'impérialisme et combat pour l'indépendance de classe se combinent encore aujourd'hui, alors même que le président Zelaya reprend ce qu'affirmait la Convention en 1793 : "Les peuples ont droit à l'insurrection !"
"Derrière le coup d'Etat on retrouve les dirigeants patronaux, les quatre partis politiques de la bourgeoisie (parti libéral, parti national, Parti démocrate-chrétien et parti Innovation et Unité social-démocrate), les dirigeants des Eglises catholique et évangélique, tout comme les patrons des principaux moyens de communication.
Tous ont passé une alliance contre-révolutionnaire par crainte que la consultation populaire du 28 juin ne donne du pouvoir au peuple, en particulier à la classe ouvrière et aux paysans pauvres, pour initier la construction d'une nouvelle société où les privilèges de la classe bourgeoise et des propriétaires terriens seraient abolis;
Il faut dire que derrière ce coup d'Etat, il y a la main de l'impérialisme américain et de l'extrême-droite latino-américaine, qui y voient l'occasion de freiner la progression de la gauche dans la région e l'Amérique centrale et l'influence de la révolution vénézuélienne, aprèd les récentes victoires électorales du Front farabundo Marti de libération nationale (FMLN) au Salvador et du Front Sandiniste au Nicaragua..."
Une autre page, qui n'était initialement pas liée à l'évolution de la conjoncture au Honduras, revient sur la révolution sandiniste au Nicaragua, lorsque, le 19 juillet 1979, les troupes du Front Sandiniste de Libération Nationale (FSLN) sont entrées dans Managua,la capitale et ont chassé le sanguinaire dictateur Anastasio Somoza. Cette page est principalement consacrée à l'interview d'un combattant de la "Brigade Simon-Bolivar" du FSLN (trente ans déjà !).
Combat inconditionnel pour l'unité contre l'impérialisme et combat pour l'indépendance de classe se combinent encore aujourd'hui, alors même que le président Zelaya reprend ce qu'affirmait la Convention en 1793 : "Les peuples ont droit à l'insurrection !"