Contre le M.E.S, la misère et la honte.
Vingt députés socialistes ont refusé de voter le nouveau traité M.E.S (Mécanisme Européen de Solidarité) et se sont prononcés contre. Ils ont ainsi, comme les députés du Front de Gauche, comme Paul Quilès, refusé d’engager le pays sur la voie de la mise en tutelle.Le 28 février au Sénat, la majorité socialiste a la possibilité de mettre en échec Sarkozy et Merkel. La bataille est engagée, le Parti Ouvrier Indépendant y engage toutes ses forces. Papandréou et Venizelos nous montrent où est l’impasse , où sont la misère et la honte.