Les USA et l'Open Society Institute.
Georges Soros, un des spéculateurs qui ont profité de la Grèce est aussi le fondateur de l’Open Society Institute , un mouvement , une ONG, un instrument d’accompagnement de la politique de ce milliardaire, qui sait profiter de chaque crise ou presque, comme de chaque reprise. Il peut même, dans les deux cas, aider à faire surgir l’événement. L’Open Society Institute a une conception de la société et une mission : il doit gérer le chaos que l’activité de son fondateur et ses semblables génèrent. Dans un but humanitaire, cela va de soi. Aussi n’ai-je été qu’à moitié surpris de constater que l’Open Society Institute payait les sandwiches lors d’une réunion organisée par la mission diplomatique des USA au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. La réunion portait sur la situation des apatrides qui sont, dans la majorité des cas, des personnes déplacées, des réfugiés ou leur descendance. Des millions de gens privés de droits et dont le nombre s’accroît du fait des guerres générées par le « nouvel ordre mondial ». En échange des sandwiches le diplomate étasunien a permis à l’OSI de se faire un peu de pub. Gageons qu’aujourd’hui Soros investit sur les Droits de l’Homme en Turquie et que ses intérêts en Syrie sont bien défendus. Dans les deux camps.