On achève bien les chevaux.
"Le Courrier de l’Ouest" de ce matin raconte le tourniquet auquel a été soumise une salariée précaire de l’Education Nationale pour tenter, au péril de sa vie , de déposer avant les autres un dossier qui lui aurait permis de continuer à gagner un peu plus de 600 € par mois . Que les responsables de l’Education nationale et de Pôle Emploi qui justifient ces pratiques reçoivent ici l’expression renouvelée de mon mépris. On a parfois envie de passer de la Carmagnole à la Ravachole... Mais que ceux qui s’indignent que les EVS soient traités comme un « stock » regardent les programmes scolaires et même le langage courant , on y parle de capital humain, certains syndicats véhiculent même l’expression. Et qui dit capital dit stock. La barbarie est au programme.