Vassilis Alexakis
J'ai acheté "La Croix", ce matin, pour l'interview de Vassilis Alexakis : son dernier roman "L'enfant grec" est sur ma table de travail, de telle sorte que je puis l'avoir à l'oeil comme une promesse, en attendant de le lire (je suis toujours avec Jean Guillou). Mais "La Croix" est un quotidien surprenant. Je follow JB2S sur Twitter, mais pas Bruno Frappat car je craignais qu'il ne m'énerve et que mon médecin m'engueule à cause de ma tension... Frappat a embauché Alexakis dans une page sur la paternité. De bonne guerre ? Peut-être ! Toujours est-il qu'Alexakis ne s'est pas laissé faire, lui qui écrit : "Il me semble que les pères font du tort à leurs enfants par leur existence même". J'aimerais rencontrer Alexakis, mais pas à Paris, ni à Athênes (encore que...), plutôt à Volos, à Ouranopolis ou à Chrissoupolis, sinon je serais trop impressionné, ou encore à Auch, à Lucques ou à Etrepigny...
Donc Alexakis. Et puis j'ai trouvé ceci au détour d'un article sur le 7° forum des associations et fondations : le secteur a perdu
26 000 emplois, les dons reculent et l'heure est aux liquidations et aux concentrations, mais :
"D'une part , la prise en charge de la dépendance, avec le vieillissement, devrait lui donner un coup de fouet. D'autre part il y a
fort à parier que les collectivités locales, dont les budgets sont désormais regardés de près, délègueront aux associations des missions au moindre coût" ("La crise oblige les associations à
revoir leurs pratiques", article signé Jean-Baptiste François ).
On ne saurait mieux expliquer, dans le même mouvement où conduisent la décentralisation, la
"réduction des dépenses publiques" et le principe de subsidiarité. Ou alors à Tinos ?